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Pour la plupart exposés pour la première fois, les dessins français du riche fonds de la Fondation Custodia nous font découvrir ”un autre XIXe siècle, loin des grands noms et des sentiers battus”.

Humeur malade au coucher du soleil ; Désespoir, Mélancolie, Autoportrait inquiet, Baiser dévorateur, Vagues amoureuses, Vampire… L’œuvre du peintre norvégien est “un poème de vie, d’amour et de mort”. Mettant en exergue cette juste analyse, l’exposition du musée d’Orsay donne à voir la substantifique moelle de l’œuvre du maître expressionniste à travers une centaine de peintures, de dessins et d’estampes traversées par “le soleil noir de la mélancolie”.

Vaste et prolifique comme les tables d’abondance et autres mises en scène de la vacuité des nourritures terrestres dans les tableaux de Vanités, audacieuse et brillante dans ses confrontations, cette exposition, qui met à l’honneur la nature morte sous toutes ses formes – de la peinture à la vidéo, en passant par la sculpture, la photographie et le cinéma –, ambitionne de faire dialoguer “les choses” par-delà le temps et les frontières.

À l’instar du Jardin si délectable en terre cuite vernissée créé en 2006 par Christine Viennet, sur le modèle des plats à décor naturaliste grouillant de plantes et d’animaux (moulés sur le vif) de Bernard Palissy (vers 1510-1590), la céramique, et plus particulièrement la céramique contemporaine, provoque souvent une sensation ambivalente, un mouvement double de séduction et de répulsion.

Les voyages de Camille. Découvrez 3 destinations vibrantes, culturelles et dépaysantes pour se changer les idées le weekend de l’Armistice. Leurs points communs ? Elles sont proches de Bruxelles, accessibles en train, et regorgent d’un patrimoine culturelle hors du commun.

Après la Tate de Londres, le Petit Palais à paris  exposera l’art de Walter Sickert. L’occasion de vérifier l’influence profonde que la sensibilité d’Edgar Degas, d’Edouard Manet et de Pierre Bonnard a eue sur ce peintre britannique né en Allemagne.

Rares sont les tableaux ayant donné un nom à un courant artistique. C’est ce qui advint d’une marine peinte par Claude Monet, “dans un petit matin blafard”, de la fenêtre d’un hôtel du Havre, en 1872.

Un bel hommage est rendu au photographe disparu il y a deux ans, à l’âge de quatre-vingt-douze ans, à travers une exposition inédite de quelque 260 tirages originaux mais aussi d’écrits et d’œuvres audiovisuelles et sonores de l’époque fondatrice de l’auteur-reporter devenu photographe de mode. Et quel photographe de mode ! L’un des plus grands du XXe et du XXIe siècle…

Paradigme de l’art, la nature et ses processus de création inspirent depuis toujours les designers. L’exposition Mimèsis dévoile ses secrets et rend hommage à sa beauté, dans tous ses états.

L’école de peinture portugaise qui se développe sous les règnes prospères et éclairés des rois Manuel Ier et Jean III à l’époque des grandes découvertes, opère une étonnante synthèse entre les inventions picturales de la Renaissance italienne et les innovations flamandes.

Confrontant deux collections majeures d’estampes et de dessins de Dürer (celles du musée Condé et de la Bibliothèque nationale de France), l’exposition de Chantilly offre une nouvelle perspective sur l’éblouissante création graphique du maître de Nuremberg.

À l’occasion du bicentenaire de la naissance de Rosa Bonheur à Bordeaux, le musée d’Orsay, Paris et le musée des Beaux-Arts de sa ville natale organisent une importante rétrospective de son œuvre. Le Château Musée Rosa Bonheur à Thomery (Seine-et-Marne), où l’artiste vécut près d’un demi-siècle, ainsi que le Musée départemental des peintres de Barbizon sont les partenaires exceptionnels de l’exposition. Le bicentenaire de la naissance de Rosa Bonheur est inscrit au calendrier des commémorations de France Mémoire 2022.