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Le tapis rouge avait été déroulé devant la gare du Nord car nos souverains avaient choisi le train pour se rendre à Paris à l’occasion d’une visite officielle de trois jours. Ils furent escortés à l’arc de triomphe où les attendaient le Président et Madame Macron pour un hommage au Soldat inconnu. Le roi et Emmanuel Macron déposèrent une gerbe conjointe, preuve des relations fortes établies entre les deux pays amis.

Portraits troublants de vérité (citons le célèbre Portrait d’un vieil homme aux chairs tombantes, lacérées de rides, ou la non moins fameuse Fanciulla de Vulci, jeune fille toute de grâce et de perfection), copies d’originaux grecs renommés (tel le Buste de satyre ivre, véhémente réplique en marbre d’un bronze découvert à Herculanum), œuvres au “style rétrospectif” puisant aux sources du classicisme ou de l’archaïsme grecs, sculptures funéraires…

Pionnière de l’abstraction, Sonia Delaunay fut tout à la fois peintre, graphiste, créatrice de mode et conceptrice de design.

Le 23 octobre prochain, la célèbre maison de ventes et d’expertises parisienne Tajan proposera aux enchères une exceptionnelle collection d’albums de prestige d’Hergé. Cette collection unique a été constituée par Monsieur Felipe Ortiz-Patiño, membre de la célèbre famille de collectionneurs d’art. Composée de 75 ouvrages, cette collection est hors norme, tant par le nombre d’albums proposés, que par leur qualité et leur rareté. Ces albums sont en effet pour la plupart à l’état neuf ou quasi neuf.

Raphaël, Antonello de Messine, Botticelli, Parmigianino (Le Parmesan), Titien, Véronèse, Caravage, Cavalier Bernin, Rubens…

Perspectives impossibles, ombres étirées, créatures hybrides, cités idéales, paysages comme pétrifiés…

Un parcours labyrinthique rayonnant autour du manuscrit original du Manifeste fondateur d’André Breton : telle est la physionomie que prendra au Centre Pompidou l’exposition célébrant, après les musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, l’anniversaire du mouvement surréaliste.

C’est toujours un moment festif et riche en découvertes : la Fête des Puces invite à chiner un verre à la main !

Il fait partie de ces artistes mondialement connus et qui, pourtant, n’ont pas encore la cote qu’ils méritent.

Il y a longtemps que le créateur star des années 1980-1990 a prouvé que son talent dépassait le territoire de la mode. Visionnaire et boulimique, Jean-Charles de Castelbajac a été l’un des premiers à oser la transversalité, le détournement, mêlant un goût pour l’héraldique des chevaliers au pop art et au street art new-yorkais, osant l’humour avec ses manteaux nounours, imaginant des robes peintes par Miquel Barceló ou Robert Combas, et dessinant sans arrêt, pour lui, tel un véritable artiste, incapable de faire autre chose, comme son ami Keith Haring.

Une envie de soleil, d’ambiance dolce vita, comme un avant-goût des vacances d’été?

Il est loin, le temps où Caroline Loeb ne voulait pas quitter son lit car c’était la ouate qu’elle préférait…