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Le bal de Caroline

News Gotha

Rédaction Eventail

27 March 2017

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En l'absence du prince Albert et de son épouse Charlène, Caroline fut la vedette incontestée du bal de la Rose et sa tenue singulière n'y fut pas pour rien tant elle suscita des commentaires. Lampadaire pour les uns, chef d'oeuvre pour les autres, elle fit en tous cas couler beaucoup d'encre dans les rédactions.

Cette année, Karl Lagerfeld puisa son inspiration au sein du mouvement Sécession, né à Vienne au tournant du XXe siècle. Les invités découvrirent ainsi un décor aux accents géométriques basé sur une symphonie de blanc et de noir éclairée de riches bouquets aux tonalités roses.

 
 © Le duc et la duchesse de Castro © Droits réservés

L'arrivée des convives entraîna comme de coutume sur le Rocher, des crépitements nourris et, après le prince Serge de Yougoslavie et son épouse Eleonora, le duc et la duchesse de Castro en élégante robe à traîne froufroutante, le couturier fit son entrée escortant la princesse Caroline vêtue d'une robe librement réinterprétée d'après un modèle porté par Emilie Flöge, une créatrice de mode qui n'était autre que la compagne de Gustav Klimt, chantre du mouvement Art nouveau autrichien.

 
 Emilie Flöge © Droits réservés

Reconstituée à l'Institut des Arts Appliqués de Vienne, une reproduction de l'original montre cependant un tombé plus libre et des manches plus longues, différemment articulées. Karl Lagerfeld l'a aussi ponctuée de liserés et de légers motifs noirs.

 
 © Droits réservés

Aux côtés de la Princesse de Hanovre, son fils Pierre Casiraghi et son épouse Béatrice Borromeo, toute jeune maman, mais aussi sa fille Charlotte dans une tunique noire issue de la garde-robe maternelle. Resplendissante, la jeune fille filerait le parfait amour avec Dimitri Rassam, le fils de l'actrice Carole Bouquet. Comme elle l'a déjà fait par le passé, posant pour l'objectif de son grand ami Karl en aristocrate de la belle époque ou en danseuse de charleston, Caroline s'est amusée à jouer les mannequins d'un jour, positivement ravie par l'effet de surprise produit !

Noémie Lvovsky : « Il faudrait accepter que l’instinct maternel n’existe peut-être pas »

Cinéma

Dans le film d’Alice Douard, un couple de femmes est sur le point de voir naître son enfant. “Des preuves d’amour” part d’une situation médicale. Paris, 2014. Nadia (Monia Chokri) s’apprête à accoucher d’un bébé conçu par procréation médicale assistée (PMA). Sa compagne, Céline (Ella Rumpf) doit se lancer dans des démarches très longues pour adopter cet enfant. Au-delà de l’aspect quasi-documentaire, Alice Douard (césarisée pour son court « L’Attente » en 2024) signe un très beau premier film ce que cela fait d’être parent et la co-maternité, à la croisée de l’intime et du politique. Des doutes, des préjugés, des injonctions dont nous parle Noémie Lvovsky que nous avons rencontrée.

Les Petits Oignons : 40 ans et pas une ride

Gourmet

Au Sablon, il est une brasserie qui joue la partition de la tradition avec un tempo résolument moderne. Depuis 40 ans, Les Petits Oignons cisèlent le goût bruxellois, entre recettes emblématiques, fraîcheur radicale et élégance d’un service sans compromis.

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Christian de Danemark : les 20 ans d’un futur roi

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Ses 18 ans avaient été célébrés en grande pompe, ses 20 ans seront plus discrets, marqués par une série de portraits officiels et des photos du prince s’initiant au pilotage d’un avion. Car, en cet automne 2025, Christian de Danemark poursuit sa formation après avoir effectué son service militaire, entre février et mai. En effet, au terme de l’été, le prince Christian de Danemark a intégré l’école des hussards de Slagelse, au sud-ouest de Copenhague, afin d’obtenir, au bout d’une année, le grade de lieutenant. Un stage pratique suivra, de quoi préparer l’héritier du trône à toute éventualité puisque le Roi de Danemark est toujours chef de l’armée avec rang de général et d’amiral.

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