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Les 50 ans de Claire de Belgique

GothaNews Gotha

Christophe Vachaudez

22 January 2024

Princesse discrète, l’épouse du prince Laurent fait pourtant partie du paysage royal depuis plus de 20 ans.

De nationalité belgo-britannique, Claire Louise Coombs est née à Bath, en Grande-Bretagne le 18 janvier 1974 mais vit à Dion-le-Val depuis 1977. Parfaite trilingue, l’intéressée a suivi une formation de géomètre-expert et a décroché un diplôme en 1999. Elle sera immédiatement engagée dans un bureau de Wavre sans savoir ce que lui réserve le destin.

© Didier Lebrun/Photonews

Á l’époque, le fils cadet du roi Albert et de la reine Paola semble s’être assagi. Sénateur de droit depuis deux ans, il plaide en faveur de l’accès à l’eau potable pour tous, une cause dont il s’est fait l’avocat auprès des autorités. Celui qui aurait voulu devenir vétérinaire s’intéresse aussi au bien-être animal, ouvrant des dispensaires pour soigner les compagnons des personnes précarisées. En défenseur convaincu de l’environnement, il s’investit dans l’Institut royal pour la gestion durable des ressources naturelles et la promotion des technologies propres, autant d’engagements dont la future princesse se sent proches.

© Photo News

Le mariage a pour cadre la cathédrale des Saints-Michel-et-Gudule. La reine Paola a veillé personnellement à la décoration florale et la nef embaume. Le couple royal ne peut cacher son émotion tout comme Laurent qui verse quelques larmes. Moment fort de la cérémonie, l’allocution du Père Gilbert, le prêtre des loubards, qui parle du marié sans fard, évoquant ses doutes et ses failles. Le lendemain, une messe est même dite dans le quartier populaire des Marolles que le Prince connait si bien. Le couple qui s’est installé à la villa Clémentine, en lisière de l’arboretum de Tervuren, rayonne avec l’arrivée de la princesse Louise.

© Didier Lebrun/Photonews

Des jumeaux, les princes Nicolas et Aymeric, viendront agrandir la famille le 13 décembre 2005. La princesse a accepté de parrainer quelques associations souvent liées au monde de l’enfance. Au palmarès des parrainages princiers, on peut citer la Maison d’Enfants Reine Marie-Henriette qui a fêté ses 150 ans en 2022, l’ASBL Les Petits Riens, la Brussels Choral Society qui a chanté à son mariage, l’ASBL De Gentse Barge ou L’Enfant des Étoiles, la Fondation Pro Renovassistance ou encore de l’ASBL des Espaces Verts et Art des Jardins. Selon la rumeur, la reine Paola lui confiera sa fondation quand sa santé ne lui permettra plus d’assumer ses engagements.

© Didier Lebrun/Photonews

Mère comblée, la princesse voit avec satisfaction combien ses enfants se sont épanouis, en dépit de leur appartenance au gotha, entretenant une relation complice avec leurs cousins et participant de temps à autre à des engagements officiels. Les jumeaux n’ont-ils pas accompagné récemment la reine Paola en déplacement ? Cette dernière a d’ailleurs donné à Louise une de ses robes de jeunesse pour assister voici peu à un bal en Allemagne. Une famille unie et heureuse, voilà ce que l’on pourrait souhaiter à la princesse Claire pour ses 50 ans !

Photo de couverture : © Didier Lebrun/Photonews

Atelier Acque e Sale, sensation d’Italie

Gastronomie & Oenologie

L’Atelier Dolce Amaro devient l’Atelier Aqua e Sale. La faveur de ce changement de nom nous offre l’occasion de repasser les portes de cette adresse bien installée à St-Gilles et qui, à contre-courant des nouvelles adresses transalpines de la capitale, a fait le pari – gagnant – de ne pas se spécialiser.

Vernissage au Lycée français Jean-Monnet, à Uccle

Vie mondaine

Mercredi 14 mai, La Fondation de soutien au Lycée français Jean-Monnet organisait le vernissage de la première Galerie Ephémère au Lycée français Jean-Monnet. La Fondation rassemble des membres issus du monde de l’entreprise. Présidée par Alexandre Wittamer, elle bénéficie du soutien de l’Ambassadeur de France qui en est le président d’honneur. © Lycée français Jean-Monnet

14/05/2025

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Dans la Cour des Grands : Passion d’avril !

Chroniques royales

Dieu que les traditions ont la vie dure depuis quelques années. À chaque fois qu’avril approche, je me dis que c’est dommage : les poissons du premier sont tous partis frayer ailleurs. Mais d’où vient cette vieille tradition et quelles ont été les plus belles farces écrites dans la presse belge et étrangère ? Par souci de nostalgie maraichère, j’ai enquêté pour vous. Et promis, ce n’est pas une blague !

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