La nouvelle vie du Marta, le boudoir intimiste du Fouquet's

Dans la constellation gastronomique belge, l’étoile de l’Impératif d’Éole brille avec constance et raffinement.

À Anvers, on se passe tellement le mot sous le manteau, que tout le monde sait ce qui se cache derrière la – très – discrète porte de cette adresse du sud de la ville. La jolie maison de maître aux influences art déco accueille le restaurant gastronomique du chef Gino Lemmens et de son épouse Katia Kulakova : Les Années Folles. Si la cuisine qu’on y sert s’inspire avec brio des grands classiques de la cuisine bourgeoise franco-belge, ce que l’on goûte est parfaitement de notre époque !

Lapins, œufs, pralinés et créations inattendues, difficile de célébrer Pâques sans douceur… Des pièces artistiques aux douceurs revisitées, il y en a pour tous les goûts avec même en fin d’article une recette facile et irrésistible pour briller à table le jour J !

Le 16 mai prochain, le chef étoilé Xavier Mathieu convie trois figures majeures de la gastronomie française – Marc Veyrat, Édouard Loubet et Brandon Dehan – pour un dîner d’exception au Phébus & Spa à Joucas. Une soirée unique sous le signe de la Provence, du terroir et de la transmission culinaire.

Créer un espace pour nos bambins, c’est imaginer une chambre où les rêves et la réalité se rencontrent. En 2025, les tendances décoration enfant s’orientent vers une atmosphère douce et évolutive, mêlant couleurs apaisantes, matières naturelles et mobilier ingénieux.

Nul besoin de parcourir des milliers de kilomètres pour vivre un dépaysement total dans un endroit privilégié, authentique et surprenant. La description peut paraître facile, voire galvaudée, car de nombreux établissements méritent ces adjectifs du bout des lèvres. La famille Roellinger a construit un petit empire en Bretagne et chacune de ses adresses mérite ces superlatifs, et bien d’autres.

Saison après saison, le chef Maxime Colin répond, sans trembler, avec la tranquillité qu’on lui connaît, aux attentes que la critique culinaire avait placées en lui à l’aube de sa carrière. Sa carte de printemps, servie actuellement dans l’établissement qui porte son nom, est un modèle de maîtrise, où la technique est au service du goût et où la seule boussole est celle du plaisir, dosé à la perfection.

Amoureux des décors qui racontent une histoire, Oscar Lucien Ono est aussi à l’aise pour faire revivre au Tropical Hotel Saint-Barth l’atmosphère des Caraïbes, dans les années 1950, que de créer une ambiance seventies dans une finca d’Ibiza ou encore d’imaginer un hommage au groupe Memphis afin de transformer des piliers disgracieux en totems façon Ettore Sottsass.