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L’exposition Confidences présentant deux nouvelles œuvres de l’artiste américain James Turell (°1943) est prolongée jusqu’à fin mars à la Gagosian Gallery de Paris.

Sous l’emprise de la littérature, et notamment du théâtre shakespearien, mais aussi de ses cauchemars, Johann Heinrich Füssli (1741-1825) a composé un monde fantasmagorique aux frontières de l’horreur et du merveilleux, du sublime et du grotesque.

Une mer de nuages blanche et grise envahissant la toile où l’on distingue un planeur et son ombre : le tableau peint en 1910 par André Devambez en dit long sur la veine de cet artiste de la Belle Époque que le Petit Palais a la bonne idée de sortir de l’oubli.

“Je trouve que la restauration de ce bâtiment est absolument remarquable. Les décorateurs Joseph Achkar et Michel Charrière ont fait un travail extraordinaire.

“Pas besoin d’être client pour profiter du spa de cet hôtel qui est un peu caché en bas des Champs-Élysées et qui a beaucoup de charme. Avec mon mari, nous y allons toutes les semaines nous faire masser.

Après la Tate de Londres, le Petit Palais à paris  exposera l’art de Walter Sickert. L’occasion de vérifier l’influence profonde que la sensibilité d’Edgar Degas, d’Edouard Manet et de Pierre Bonnard a eue sur ce peintre britannique né en Allemagne.

Le 15 septembre, Piasa va susciter bien des envies chez les collectionneurs, avec une vente consacrée au design finlandais. En vedette, son créateur, aujourd’hui très recherché, Paavo Tynell.

C’est étonnant, ce besoin qu’ont les palaces de renouveler systématiquement leur décor. Autrefois, le charme d’un endroit était lié à l’atmosphère, à la patine des ans.

“J’aime retrouver l’atmosphère feutrée et glamour de ce restaurant fondé en 1927. Avec ses boiseries, ses tableaux, ses nappes bleu turquoise, le cadre est comme un écrin hors du temps.

Sans départir. C’est le titre de ses mémoires et la devise de la famille. Pas sûr que les ancêtres Beauvau-Craon auraient aimé le rapprochement. Et que dire du grand-père maternel Anténor Patiño ! Mais il illustre parfaitement la vie de cette princesse rebelle. Ne rien renier, tout prendre, le bon comme le mauvais, et garder la tête haute.

Peu de peintres du XXe siècle sont allés aussi loin dans l’exploration de la déliquescence du motif et de la défiguration.

Les voyages de Camille. Suivez-moi pour un weekend artsy, foody & shoppi(ng). Attention : le port de la basket est fortement conseillé… voire obligatoire  !