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Cette exposition conçue par Shezad Dawood (1974) s’inspire des œuvres de Yusef Lateef (1920-2013), musicien afro-américain, touche-à-tout créatif.

La saga de l’été sur Eventail.be suit son cours. À quoi ressemble les vacances de nos personnalités ? On poursuit avec notre princesse polyvalente, Delphine de Saxe-Cobourg. Sur le thème « Love Imperfection », la Princesse prend la direction artistique des allées de Maasmechelen Village cet été. Rencontre.

En soutenant les artistes de leurs temps, les collectionneurs privés ont participé à l’écriture de l’histoire de l’art vivant.

La Schiller Art Gallery emmène ses pépites au littoral. Idéalement située au cœur de Saint-Idesbald, la galerie temporaire de Gregory Verdonck présente une sélection pointue d’artistes connus.

Cet accrochage présente une série de tableaux retraçant les dix dernières années de travail de Michel Mouffe (Bruxelles, 1957), partagé entre l’Espagne, la France et la Belgique.

Cette exposition établit des ponts entre trois  artistes de générations différentes, vivant toutes en Belgique : Lili Dujourie (1941), Sophie Nys (1974) et Angyvir Padilla (1987).

Compositeur et artiste audiovisuel, Trevor Mathison (UK) est l’un des membres fondateurs du légendaire collectif artistique multimédia Black Audio Film Collective.

Partout dans le monde, il est des hôtels nés sous le signe de l’art. Ce mois-ci, L’Éventail vous plonge au cœur du Beaumont, situé au cœur de Mayfair, à Londres.

Les corps se peignent est le titre d’un ensemble réalisé en 1984, à la suite d’un voyage sur le fleuve Amazone. Cette expérience amènera Catherine Viollet à réorganiser ses grands nus autour de l’univers des Indiens de la forêt amazonienne.

Artiste afghane basée à Paris, Kubra Khademi (1989) explore sa vie de réfugiée et de femme. Durant ses études au Pakistan, elle commence à créer des performances publiques anti-patriarcales.

En lien avec douze institutions de premier plan, le programme Micro-Folie est un musée numérique porté par le ministère français de la Culture et coordonné par La Villette.

“Grégoire Mercier a commencé par travailler pendant cinq ans auprès de son père Thierry, grand spécialiste du XIXe siècle et, plus particulièrement, des Nabis.