5 mots pour 1 expo : Dream Box

Depuis 1977, Antica Namur célèbre la beauté intemporelle, le patrimoine et l’excellence artistique. Née d’une passion pour les beaux-arts et les antiquités, la foire est devenue un rendez-vous prestigieux réunissant des galeries renommées, des collectionneurs et des connaisseurs.

Le Musée des Arts décoratifs (MAD) de Paris met à l’honneur cette figure emblématique de la haute couture au tournant du XXe siècle lors d’une première exposition monographique, attrayante et festoyante.

De la rue Dansaert aux cimaises du Musée Mode & Dentelle, l’exposition 40+ Years of STIJL retrace l’épopée d’une boutique visionnaire devenue l’un des piliers de la mode belge. À travers 68 silhouettes emblématiques, cet événement célèbre l’audace de Sonja Noël, pionnière qui a su transformer un quartier et propulser la création belge sur la scène internationale.

Avec “MAURICE, Tristesse et Rigolade”, Charlotte Abramow (Bruxelles, 1993) signe une exposition bouleversante et lumineuse. Entre humour tendre et poésie pop, elle transforme l’adieu à son père en un récit universel sur l’amour, la perte et la puissance douce de la résilience.

C’est la fiesta à Lille et les événements s’enchaînent autour de ce thème infiniment joyeux que les Flandres ont toujours pratiqué avec une gouaille unique. Beaucoup d’art contemporain, certes, dans les quartiers et dans la périphérie, mais surtout une exposition locomotive, un peu belge de surcroît, au Palais des Beaux-Arts.

L’artiste américain John Knuth exposait cet été The Hot Garden à la galerie Hollis Taggart de New York, une série de ses fameuses Fly Paintings.

Avec Les Rois des Belges, paru chez Le Lombard, Jean-Philippe Thivet et Arnaud de la Croix proposent une œuvre hybride et ambitieuse : une bande dessinée documentaire qui retrace l’histoire des sept souverains belges, de Léopold Ier à Philippe, en conjuguant rigueur historique et narration graphique. Soutenue par le trait précis de Vicente Cifuentes, cette publication s’adresse autant aux passionnés d’histoire qu’aux amateurs de bande dessinée désireux de mieux comprendre la fresque monarchie belge.

Lucas Belvaux adapte son propre (premier) roman éponyme (Ed. Alma, 2022, prix Claude Chabrol, prix Régine Desforges). Une chasse à l’homme où l’imminence de la mort mène, étrangement, à la lumière. Rencontre avec Lucas Belvaux.