Art & Culture

Découvrez les trois ventes à ne pas manquer au mois d’octobre.

Les mois de juillet et août marquent souvent un ralentissement des ventes aux enchères, hormis quelques remarquables vacations balnéaires.

Au moment du salon Paris+, pas question de passer à côté des collectionneurs internationaux présents dans la capitale.

Découvrez les trois ventes à ne pas manquer à la rentrée.

Comme tous les milieux, celui de l’art possède ses propres codes, son langage, ses termes in-house que seuls les initiés peuvent comprendre et saisir immédiatement. Mais, pour paraphraser une célèbre publicité « Ca, c’était avant ». Car désormais, le nom de la très réputée maison Artcurial n’est plus inconnu du grand public du petit-monde de l’art. Et puisque tous les étés les collectionneurs belges se donnent rendez-vous à Knokke, Artcurial a eu la judicieuse idée d’y prendre régulièrement ses quartiers.

Les ventes se suivaient à un rythme effréné en cette fin de saison, avant la pause estivale, et les résultats ont confirmé l’excellente santé du marché de l’art. On remarque désormais qu’il n’y a plus besoin de se rendre à Paris ou Londres pour mettre en valeur des trésors. La Belgique reste un vivier dans tous les domaines de l’art et les salles de ventes savent valoriser ces pépites.

Le monde entier de Knokke-Le-Zoute connait Guy Pieters. La vraie passion de Guy et de son épouse Linda, c’est l’art contemporain. Sa première galerie à Knokke-Le-Zoute a été fondée en 1981. Dans les 40 années suivantes, Guy et Linda ont développé plusieurs galeries. Dont une fondation à Saint-Tropez, il n’y a pas longtemps. À 70 ans, plutôt que de lever le pied, le galeriste s’est lancé dans un nouveau projet passionnant et courageux à la fois.

Les ventes se sont suivies sans se ressembler durant ce printemps. Malgré des marchés financiers toujours en apnée, chaque domaine de spécialité a bénéficié de très belles ventes, parallèlement aux foires spécialisées. Des résultats qui marquent une belle santé pour le marché de l’art.

Lionel Machris, un artiste aux multiples facettes, passionné par la peinture, la sculpture et la photographie, a tracé un chemin unique dans le monde de l’art, captivant l’attention des critiques et des amateurs.

Œuvres d’art, design et haute joaillerie ont essaimé dans les différentes ventes aux enchères, parallèlement aux grandes foires internationales. Un morceau d’histoire française est parti rejoindre une collection privée, tandis qu’un amateur de mobilier s’offrait un nouveau salon pour plus de trois millions d’euros. De quoi se faire plaisir en ce début de printemps !

Lorsqu’on l’interroge sur ses œuvres d’art accrocheuses, l’artiste reste extrêmement taciturne. Pourtant, il n‘a pas la moindre raison de se cacher derrière son travail. Au contraire : son talent artistique avec ses trente-deux ans de vie semble tout simplement phénoménal et pourvu de qualités.

L’assimilation des nouvelles technologies a façonné la numérisation de la culture. Aujourd’hui, les œuvres immatérielles et les expositions immersives font le bonheur des grandes institutions. Que signifient ces bonds en avant pour les arts et les publics ?