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En 1974, Yvon Lambert réalise dans sa galerie de la rue de l’Echaudé (Paris) une exposition consacrée à Dan Flavin (1933 – 1996) en collaboration avec l’artiste. Cet événement s’inscrit tout naturellement dans un cycle d’expositions dédiées aux nouvelles avantgardes américaines et européennes et qui placent Yvon Lambert aux avant-postes de la défense des artistes de son temps.

La Maison Ruinart révèle une édition limitée de ses cuvées emblématiques signée par l’artiste français Claude Viallat.

Parades de chevaux caparaçonnés, mascarades mythologiques, joutes et spectacles nautiques, tournois, banquets, bals, carnavals… Du règne de François Ier à celui d’Henri III, le château de Fontainebleau fut le lieu de somptueuses fêtes données à la cour des Valois.

Cette semaine, Lobby poursuit sa série sur les options d’investissements divers, avec un focus d’actualité : l’art… et son marché !

Femme étonnante s’il en est, Françoise Gilot a fêté ses cent ans en novembre dernier et n’a rien perdu de son envie de créer et de peindre, car celle qui inspira Pablo Picasso et fut la première à le quitter, s’est épanouie en tant qu’artiste de l’autre côté de l’Atlantique.

La Fondation Folon accueille jusqu’au 26 juin l’expo temporaire Tomi Ungerer. L’enfant terrible. Bien connu pour ses livres jeunesse (l’inoubliable Trois Brigands, le célèbre Jean de la Lune, etc.).

La pierre angulaire de ce projet signé Miguel Sbastida (Espagne, 1989) est une performance réalisée en 2018 par l’artiste, dans laquelle il tente de joindre ses forces à celles de l’océan, afin de contribuer au processus d’érosion d’une falaise.

Peu de peintres du XXe siècle sont allés aussi loin dans l’exploration de la déliquescence du motif et de la défiguration.

La démarche de Bilal Bahir s’intéresse à la diversité des cultures dans une vaste perspective chronologique.

Artiste mal connu, souvent réduit à ses sculptures monumentales de femmes plantureuses, Aristide Maillol (1861-1944) méritait bien cette rétrospective.

Milly-la-Forêt est célèbre pour abriter la maison de Jean Cocteau, transformée aujourd’hui en musée, et la chapelle qu’il a couverte de fresques. Mais le village situé à 60 kilomètres de Paris recèle un autre lieu encore plus inattendu et mystérieux.

Encore Lalanne, serait-on tenté de soupirer, mais cette exposition au Musée des Arts décoratifs a une double raison d’être.