Recherche du tag "Le Paris de"

“J’habite Marseille depuis l’écriture de mon roman, mais je connais bien le quartier du Panthéon, j’ai fait mes études supérieures au lycée Henri IV, puis rue d’Ulm.

“Si je dois dîner avec une copine étrangère, je l’emmène chez René, au bout du boulevard Saint-Germain.

“Je ne pouvais pas évoquer mes adresses parisiennes sans un clin d’œil à la boutique de ma mère, qui est idéale quand on cherche une idée de cadeau.

“Grégoire Mercier a commencé par travailler pendant cinq ans auprès de son père Thierry, grand spécialiste du XIXe siècle et, plus particulièrement, des Nabis.

Depuis 2015, Pascale Mussard préside aux destinées de la villa Noailles, cet emblème de la modernité bâti en 1923 par Robert Mallet-Stevens au-dessus de la ville d’Hyères.

L’office de tourisme de Paris devrait le subventionner. Marin Montagut est le plus fervent des ambassadeurs de la capitale française. Non seulement il en connaît les adresses les plus secrètes et attachantes, mais depuis une dizaine d’années il n’a de cesse d’en faire la promotion autour de lui.

Cette année, elle ne sera pas à la TEFAF avec son complice Christophe de Quénetain. Marella Rossi Mosseri s’est accordé une année pour souffler et aborder sereinement l’avenir… Depuis la disparition de son père, le célèbre antiquaire Jean-Marie Rossi, décédé en décembre 2021, elle a repris les rênes de la galerie parisienne. Un vaisseau amiral de 600 m2 qui se dresse sur la place Beauvau, à quelques mètres de l’Élysée.

Elle a prêté quelques pièces au musée des Arts décoratifs, à Paris, pour l’exposition qu’il consacre aux années 1980. Et pour cause : Agnès Kentish en était une des figures majeures, en matière de design.

“J’étais quelqu’un qui ne marchait pas. Je prenais un taxi pour faire 100 mètres… Et puis, j’ai subi une très lourde opération du dos et pour ma convalescence, j’ai été obligée de découvrir le plaisir de la promenade !

“Je sais que c’est une librairie qu’on n’a plus besoin de présenter, mais elle a pour moi une dimension sentimentale.

“Ouverte en 1947, cette épicerie fine est une institution et un des derniers vestiges du Marais, avant que le quartier ne soit complètement transformé.

“J’aime retrouver l’atmosphère feutrée et glamour de ce restaurant fondé en 1927. Avec ses boiseries, ses tableaux, ses nappes bleu turquoise, le cadre est comme un écrin hors du temps.