Société

Après une application baby-sitting, de co-voiturage et de "coach écologique", voici notre quatrième rendez-vous qui met en avant des initiatives positives où la technologie oocupe une part importante. Cette fois-ci, c'est Bruxelles, mode d'emploi qui passe sous la loupe d'Eventail.be, une interface cartographique qui reprend tous les bons tuyaux de la région bruxelloise. En juin 2015, autour de Mathieu Simonson, les citoyens engagés de l'asbl Dewey ont voulu mettre en valeur celles et ceux qui font de Bruxelles, une capitale solidaire.

Bio, équitable, durable, locale, direct … pas facile d'y voir clair parmi tout ce jargon alimentaire un peu technique. Surtout que les uns n'impliquent par forcément les autres. Avec Färm, on va peut-être y voir plus clair. Explications avec Baptiste Bataille, l'un des deux co-fondateurs d'une chaine de grandes surfaces d'un genre nouveau.

A 23 ans, Elliot Lepers a déjà eu l'occasion de concrétiser plusieurs de ses idées pour changer le monde. En effet, après avoir dirigé la campagne numérique d'Eva Joly, créé l'extension Amazon Killer et Macholand.fr, site d'action contre le sexisme, le jeune patron de la start-up CobbleCamp a profité des réflexions autour de la COP 21 pour créer 90 jours. 

[caption id="attachment_15916" align="alignnone" width=""]De gauche à droite, Hervé Louis, Adrien de Shompré et Grégory Marciano [/caption]Grégory Marciano est le co-fondateur de la célèbre enseigne de restauration de sushis Sushi Shop. Pour Eventail.be, il revient sur le parcours humain et entrepreneurial d'une véritable aventure audacieuse, et selon ses propres mots : presque inconsciente. Bref, une vraie succes story ! 

L'économie de la fonctionnalité consiste à remplacer la notion de vente du bien par celle de la vente de l'usage du bien. C'est tout à fait ce que propose Wibee. Cette entreprise belge vous propose de partager une voiture à plusieurs personnes via une application. Toujours dans l'esprit initiative confiance-respect-solidarité... Le nouveau rendez-vous d'Eventail.be.

[caption id="attachment_15894" align="alignnone" width=""]En plein tournage dans les locaux du Champignon de Bruxelles[/caption]Lorsque nous avions rendu visite au Champignon de Bruxelles, en février 2015, Sevan Holemans, l'un des co-fondateurs de la start-up, nous avait expliqué les enjeux d'un projet écologique, économique, équitable et durable (Retrouvez l'article complet en cliquant ICI).

[caption id="attachment_15864" align="alignnone" width=""]Eventail.be en tournage dans les réserves de Tale Me...[/caption]Louer des vêtements n'est pas vraiment le premier réflexe que l'on pourrait avoir quand vient le temps d'habiller des bébés ou de jeunes enfants. C'est pourtant l'idée qu'a eue Anna Balez en lançant Tale Me. Surprenant de prime abord, le concept est pourtant intéressant et interpellant quand on y regarde de plus près. Car finalement, pourquoi se ruiner dans de très beaux vêtements de nourrissons qui ne seront portés que quelques mois au maximum ? Pourquoi s'encombrer ensuite d'une collection d'habits devenus très vite trop petits ? Les revendre en second main ? Oui, mais à quel prix ? Les jeter ? Par les temps qui courent, difficile de s'y faire...

[caption id="attachment_15850" align="alignnone" width=""]En tournage des capsules dans les locaux du Brussels Beer Project[/caption]Presque un an après le lancement de la rubrique entrepreneuriat - avec entrepreneurs qui font bouger le monde - Eventail.be a décidé d'aller voir comme leurs projets évoluent... Caméra au poing (ou presque!). La série de capsules commence avec l'interview de Sébastien Morvan, co-fondateur du Brussels Beer Project.

... c'est comme ça que Kaat Blommaert nous parle de son partenariat avec ZEB. Il y a dix ans, elle créée la marque Le Fabuleux Marcel de Bruxelles. S'inspirant d'Havaianas, elle décide de créer une marque spécialisée dans un seul produit. Portant un singlet (ainsi que son mari) le jour où elle se décide, elle choisit le maillot de corps comme vêtement. Le nom de la marque évoque aussi bien le terme utilisé en Belgique et en France pour le singlet que le vieux prénom. Enfin, Kaat adore la capitale de la Belgique, son esprit brusseleir, l'autodérision et l'humour belge. Le nom est choisi et le ton est donné.

Une usine un peu particulière vient d'ouvrir ses portes à Bruxelles. Sur ses lignes de montages entrent des idées, et après quelques transformations et pas mal de boulot, en sortent des start-up !  Un projet original, qui a fait ses preuves ailleurs, et qui pourrait bien booster l'entrepreneuriat chez nous. D'autant plus que le chef d'atelier n'est pas un inconnu, mais un entrepreneur réputé : Baudouin de Troostembergh.

[caption id="attachment_15796" align="alignnone" width=""]Le Repair Café d'Ixelles[/caption]Des nos jours, la durée de vie des objets qui nous entourent est au cœur de stratégies commerciales. Ce que l'on appelle l'obsolescence programmée sert une politique de consommation à outrance. Pas écologique, et surtout peu économique, les citoyens semblent de plus en plus enclin à se libérer du joug consumériste. Quelques entrepreneurs ont des solutions.

[caption id="attachment_15731" align="alignnone" width=""]En 2012, Audrey Laurent recevait une bourse pour Autifun et lançait son projet durablement [/caption]Depuis 1963, la Fondation belge pour la Vocation (Vocatio depuis 2011) remet des bourses à des jeunes, jusqu'à 29 ans, pour leur permettre de réaliser un projet de vie original. Sans se revendiquer comme telle, l'asbl agit dans certains cas comme une structure d'aide à l'entrepreneuriat, capable de soutenir des projets très particuliers.