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Amoureuse des bijoux et des pièces anciennes, Ysalyne Van Dessel a conçu sa marque Atelier Palmier comme un savant mélange d’inspirations vintage et de créativité contemporaine.

Les ventes de bijoux qui clôturent l’année s’annoncent toujours riches en surprises et la saison 2022 ne fait pas exception avec des joyaux exhumés des coffres et directement associés aux familles impériales et royales d’Europe et d’ailleurs.

Sara a lancé sa marque belge et artisanale, à la patte contemporaine, dans un esprit de design et d’artisanat. Rendant, au passage, un bel hommage à ses parents.

La marque de bijoux bruxelloise Manalys et l’artiste belge Fred Eerdekens présentent Enigma. Cette édition limitée de 7 pièces numérotées se compose d’une sculpture et d’un bijou. Spécialement pour Manalys, l’artiste belge a créé une oeuvre d’art en or 18 carats basée sur le mot Enigma. Un collier signé Manalys, également en or 18 carats, interprète l’oeuvre d’Eerdekens en version bijou sur lequel on peut lire le mot « ombres ».

Quand on s’appelle Ambre de l’Arbre, on est peut-être prédestinée à créer des bijoux. Mûrement réfléchie, la démarche de cette passionnée est dirigée par les pierres pour un travail sur commande et sur mesure.

Pour célébrer le dixième anniversaire de sa galerie MiniMasterpiece, Esther de Beaucé a réussi un joli coup : présenter un bijou réalisé en exclusivité pour elle par la célèbre artiste Joana Vasconcelos.

“C’est une femme fascinante qui, depuis 1987, propose dans sa petite galerie des bijoux d’artistes contemporains et des bijoux ethniques.

Les ventes de mai à Genève réservent toujours leur lot de surprises et celle-ci en a étonné plus d’un. Les princes de Fürstenberg ont en effet décidé de se séparer de l’un de leurs diadèmes.

La créatrice Pamela Hastry signe une collection de bijoux d’inspiration florale, ciselés avec délicatesse, Morphée Joaillerie, qu’elle présentait, avec d’autres artistes, lors d’un vernissage dans son showroom. © Violaine le Hardÿ de Beaulieu

La vente d’un collier du Saint-Esprit s’annonce toujours comme une rareté en soi mais quand on en propose trois durant la même vacation, on frise l’événement. Tous les regards seront donc tournés vers le crédit municipal de Paris qui détient ce trésor dynastique et le propose à l’encan le 25 mars.

Pour marquer le jubilé d’or de la reine Margrethe, soit 50 ans de règne, le palais d’Amalienborg, en plein cœur de Copenhague, a organisé une exposition réunissant 200 bijoux portés au quotidien par la souveraine. Somptueux joyaux ou pièces de fantaisie, boucles d’oreilles design en plastique bleu cobalt ou collier en diamants serti de perles grosses comme des noisettes, la variété semble au rendez-vous, une occasion de mieux connaître le riche écrin d’une reine qui n’est pas insensible à l’art de la parure.

“Peu étudié, peu publié, encore plus rarement exposé, le dessin joaillier reste méconnu du grand public.” Attesté depuis la Renaissance, il constitue pourtant l’étape primordiale de la création d’un bijou.