Recherche du tag "Joaillerie"

130 pièces d’une collection privée qui sont le fruit d’une recherche méticuleuse, de voyages, de comparaison et de raison sur le marché de l’art depuis 40 ans. C’est un privilège de soulever le voile du secret sur cet ensemble particulier. Il n’y est question que de vision intellectuelle de l’histoire de la bijouterie et des différentes techniques qui l’entourent.

Exhumés de coffres dans lesquels ils dormaient depuis des décennies, nombre de bijoux évoquant les fastes de la Vienne impériale refont surface lors d’une vacation fleuve orchestrée par Sotheby’s à Genève le 6 novembre. On n’avait plus connu de ventes historiques aussi importantes depuis la dispersion des joyaux de la Maison de Bourbon-Parme en 2018. Celle de la branche des ‘Black Wurtemberg’, ainsi dénommés car ils avaient tous des cheveux de jais, restera dans les annales.

Avec ses créations sur mesure et demi-mesure aux formes douces et aux pierres subtiles, Alice Fournier met nos sens en éveil.

Sur fond de contexte historique, Laure Dorchy est venue donner une conférence sur l’incroyable destin de Jeanne Toussaint, la “panthère de Cartier”, à qui Louis Cartier confia en 1933 la direction artistique de sa maison de Haute Joaillerie parisienne. © Violaine Le Hardÿ de Beaulieu

Les ventes de bijoux qui clôturent l’année s’annoncent toujours riches en surprises et la saison 2022 ne fait pas exception avec des joyaux exhumés des coffres et directement associés aux familles impériales et royales d’Europe et d’ailleurs.

Bien trop courte, l’exposition organisée par Tiffany à la Saatchi Gallery de Londres se termine dans un mois à peine. Il faut se presser pour découvrir ce parcours où une mise en scène d’exception orchestre nombre de surprises. Rien n’a été oublié pour évoquer ce nom magique qui brille au firmament de la joaillerie depuis 1837 mais qui fête aussi sa présence à Londres depuis 150 ans… un anniversaire qu’il fallait absolument marquer d’une pierre blanche !

Durant un mois, la Grande-Bretagne vivra à l’heure du jubilé de platine de la reine Elisabeth II, soit 70 ans de règne. Á l’heure actuelle, seul Louis XIV peut la surpasser avec, au compteur 72 ans, 3 mois et 18 jours. Il y a donc toutes les raisons de vouloir célébrer ce record d’anthologie. Sotheby’s a choisi d’exposer près de cinquante diadèmes issus, pour la plupart, des plus grandes familles du royaume car, plus que tout autre bijou, cet ornement de tête à l’histoire immémoriale évoque les splendeurs de la monarchie, des voyages d’état aux couronnements, des dîners de gala aux ouvertures du Parlement.

Les ventes de mai à Genève réservent toujours leur lot de surprises et celle-ci en a étonné plus d’un. Les princes de Fürstenberg ont en effet décidé de se séparer de l’un de leurs diadèmes.

La vente d’un collier du Saint-Esprit s’annonce toujours comme une rareté en soi mais quand on en propose trois durant la même vacation, on frise l’événement. Tous les regards seront donc tournés vers le crédit municipal de Paris qui détient ce trésor dynastique et le propose à l’encan le 25 mars.

Nous vous l’annoncions en début de semaine, Elizabeth a tranché : sa belle-fille, Camilla, sera bien reine consort ! La voilà officiellement adoubée dans un message publié il y a quelques jours par Buckingham. Aux côtés de Charles, roi, il y aura bien une reine. Camilla.

Ceux qui ont lu “Les neiges du Kilimanjaro” d’Ernest Hemingway auront découvert la Tanzanie, pays des mystères l’Afrique de l’Est et de ses joyaux. La légende raconte que la foudre mit le feu à la savane des collines Merelani. Quand le feu s’éteignit, un berger Massaï ramassa des cristaux qui brillaient d’un bleu saphir vibrant d’un violet améthyste étincelant. Pour les Massaïs, la tanzanite est une pierre sacrée aux vertus de bonheur et de prospérité.

“Peu étudié, peu publié, encore plus rarement exposé, le dessin joaillier reste méconnu du grand public.” Attesté depuis la Renaissance, il constitue pourtant l’étape primordiale de la création d’un bijou.