Art & Culture

Evénement ! Laurie Anderson débarque à Bozar dans le cadre du festival Ars Musica – Big Science. Icône de l’avant-garde new-yorkaise des années 70, compositrice du tube planétaire “O Superman”, la performeuse et plasticienne expérimentale présente son installation “VR To the Moon” (du 15 novembre au 8 janvier), imaginée avec l’aide de l’expert Hsin-Chien Huang pour marquer le 50e anniversaire de l’alunissage. Grâce à des lunettes VR, les visiteurs pourront s’immerger dans l’œuvre d’art dans toutes ses dimensions.

Un épatant spectacle total composé de numéros d’acrobatie, de jonglerie, de magie, de danse, de chansons, de burlesque dans l’ambiance poétique d’un cabaret des jours anciens.

Après avoir déjà adapté 1984 au printemps 2019 (mis en scène par Patrice Mincke), le directeur du Parc, Thierry Debroux, s’attaque aujourd’hui à La Ferme des animaux (titre original : Animal Farm. A Fairy Story ), la deuxième œuvre la plus connue de l’écrivain et journaliste britannique George Orwell (1903-1950).

Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner la parole à ceux qui secouent le paysage musical belge. Le temps d’un duo, le trompettiste Rémy Béesau et le rappeur Peet, membre du 77, partagent visiblement la même ambition : provoquer des rencontres et proposer une musique singulière, taillée pour séduire au-delà de son cercle initial.

Dans “Close”, son dernier film, Lukas Dhont explore l’intimité de deux garçons dans une mise en scène fluide et gracieuse. Le réalisateur belge doit beaucoup aux jeunes acteurs -Eden Dambrine, Gustav De Waele- et à la finesse de leur interprétation. Ils réveillent en chacun des spectateurs le souvenir d’une certaine forme de bonheur logée dans l’enfance. Bouleversant, «Close» a reçu le Grand prix au dernier Festival de Cannes (1) et représentera la Belgique aux Oscars (2). Eventail.be a rencontré Lukas Dhont.

Issu de l’alliance entre deux prestigieux salons, Fine Arts Paris & La Biennale devrait combler bien des attentes pour la place de Paris en pleine effervescence. Avant d’occuper, comme il se doit, le Grand Palais à l’issue de sa rénovation en 2024, c’est au Carrousel du Louvre que les quelque quatre-vingts exposants de renom participant à cette première édition déploieront leurs trésors couvrant toutes les spécialités, de l’Antiquité à nos jours.

Nicolas Bedos signe “Mascarade”, comédie féroce et baroque, avec un plaisir (et quelques excès) fou. Le réalisateur a converti un roman non abouti en un scénario taillé au cordeau. Ses acteurs de haut vol s’en sont donné à cœur joie pour son nouveau film.

L’art nous invite constamment à un voyage, que ce soit dans le temps ou dans l’espace. On pouvait s’offrir les deux dans les ventes aux enchères de cet été. En effet, le temps paraît comme suspendu dans les tableaux peints par Panini vers 1730, mais il est bien présent dans les montres d’Audemars Piguet !

Quadrille, la pièce, parmi les plus brillantes de Guitry, mérite ici le détour, ne fut-ce que pour la verve éblouissante du texte.

Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner la parole à ceux qui secouent le paysage musical belge. Ainsi de Meskerem Mees, 23 ans, qui semble composer une musique d’un autre temps, nourrie par la folk des pionniers du genre et une sensibilité qui, à chaque refrain, fait mouiller les yeux. Depuis Gand, où elle a grandi et vit toujours, la songwritrice se charge des présentations.

Une immersion dans le monde des films de James Bond. C’est que propose l’exposition « Bond In motion » qui se tiendra au Palais des Expositions à Bruxelles du 9 décembre au 14 mai. Sur plus de 6.000 m², une scénographie originale et des pièces jamais exposées permettront le temps d’une visite de revivre les moments clés des films du célèbre espion né de la plume de Jan Fleming. L’exposition accueillera également une boutique et un bar où sera servi notamment le fameux Martini de 007, « shaken, not stirred ».

Counterpart est à la fois une sculpture et un banc. Conçue dans le cadre d’une commande de prestige, cette pièce emblématique de l’artiste britannique Tom Price a depuis donné jour à une collection de pièces à mi-chemin entre l’art et le design, toutes absolument uniques.