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Les ventes aux enchères estivales illustrent, chaque année, l’état du marché de l’art international. Celles du mois de juillet ont bel et bien traduit l’ambiance du premier semestre 2024 : des ventes à deux vitesses, avec de très bonnes surprises en dissimulant d’autres, plus décevantes.

Découvrez les trois ventes à ne pas manquer au cours du mois de septembre.

En ce mois de mars, nous célébrons la fin d’un morne hiver. L’équinoxe vernal nous donne envie de couleur mais aussi de sensualité. Dans quelque lieux que ce soit, les sybarites s’éveillent et les ventes s’enflamment!

Découvrez les trois ventes à ne pas manquer au mois de mars.

À chacun son chef d’œuvre ! Au Magritte de Sotheby’s, Christie’s répond par une toile de Miro exceptionnelle.

Découvrez les trois ventes à ne pas manquer au mois d’octobre.

Les mois de juillet et août marquent souvent un ralentissement des ventes aux enchères, hormis quelques remarquables vacations balnéaires.

Découvrez les trois ventes à ne pas manquer à la rentrée.

Œuvres d’art, design et haute joaillerie ont essaimé dans les différentes ventes aux enchères, parallèlement aux grandes foires internationales. Un morceau d’histoire française est parti rejoindre une collection privée, tandis qu’un amateur de mobilier s’offrait un nouveau salon pour plus de trois millions d’euros. De quoi se faire plaisir en ce début de printemps !

Les ventes de la rentrée ont confirmé la reprise vitaminée de ce début d’année 2023. Que ce soit dans le domaine des arts décoratifs ou des beaux arts. On remarque que la dispersion d’une grande collection est toujours gage de meilleurs résultats qu’une vente anonyme, et cela même lorsqu’il s’agit de collections saisies par la justice comme cela a été le cas de la grande vente orchestrée à Drouot sur un étage entier du célèbre hôtel de ventes en janvier dernier. Les histoires font tout autant rêver que les objets…

Une saison hivernale plutôt calme venait clore cette année 2022 riche en surprises. Que l’on se rassure, les objets exceptionnels ont su séduire les collectionneurs de tout horizon, que ce soit dans les beaux-arts ou dans le domaine du luxe !

Durant l’automne, il était impossible de manquer la vente historique de la collection Paul Allen. Ses records illustrent l’acmé de l’insolence du marché de l’art dans un contexte économique morose. D’une manière plus rationnelle, les ventes aux enchères “classiques” ont encore surpris, surtout dans des spécialités moins exposées, comme la photographie ancienne ou les jouets.