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Le Théâtre du Parc à Bruxelles présente “La Reine Rouge”, une pièce de Valériane De Maerteleire qui explore la vie fascinante de la Reine Élisabeth de Belgique. Entre histoire et fiction, cette production promet une expérience immersive et divertissante, mettant en lumière une figure royale hors du commun.

En cette fin d’année, le Théâtre de la Toison d’Or (TTO) présente une pièce qui a, sur le papier, tout d’un opéra bouffe. Pourtant, en racontant l’histoire de Florence Foster Jenkins, la pire soprano de tous les temps, et de son pianiste, Cosmé McMoon, le metteur en scène Emmanuel Dell’Erba y a vu, au-delà de la bouffonnerie et du comique, une fable sur l’amitié et le mensonge. Nous l’avons rencontré.

Après une adaptation remarquée au cinéma avec Pierre Niney dans le rôle titre, c’est maintenant au tour du Théâtre du Parc de nous présenter une autre version encore du fabuleux roman d’Alexandre Dumas.

Cet été, le bois de la Cambre, à Bruxelles, sera le cadre de la 17e édition du festival Théâtres nomades.

Le 30 mai 1431, quand Jeanne est conduite au bûcher sur la place du Vieux-Marché de Rouen pour y être brûlée vive, elle porte une mitre sur laquelle sont écrits les motifs de son exécution : hérétique, schismatique, apostate et idolâtre. Elle a 19 ans.

“Pour moi, c’est l’un des plus beaux théâtres de Belgique. Il date de 1863. C’est une chance d’avoir cette salle magnifique chez nous !

C‘est par pure amitié pour Michel Wright, le directeur du théâtre de La Valette à Ittre, que Jean-Claude Frison s’est laissé convaincre de quitter sa retraite narbonnaise pour quelques jours.

Difficile de définir le genre de ce spectacle imaginé par Sébastien Ministru qui fut créé en 2007, ici même au TTO, où il connut d’emblée un beau succès. S’agit-il d’une parodie, d’un pastiche ou encore d’une adaptation en comédie contemporaine du célèbre conte de Charles Perrault Cendrillon ou la Petite Pantoufle de verre (verre étant la graphie de l’édition originale de 1697) ? Le tout à la fois et plus encore. Sebastien Ministru, chroniqueur bien connu des auditeurs de la RTBF et journaliste apprécié des lecteurs du magazine Moustique, en a fait une relecture façon LGBTQIA+.

Le Parc continue à célébrer le 400ème anniversaire de la naissance de Molière. Après “L’École des Femmes” au printemps 2022 (déjà mis en scène par Patrice Mincke), on y monte aujourd’hui la pièce peut-être la plus emblématique, mais sûrement la plus impénétrable du génie de Jean-Baptiste Poquelin : “Le Misanthrope”.

Peut-on dire n’importe quoi, à n’importe qui, n’importe quand et sur n’importe quel sujet ? La pièce de Salomé Lelouch (la fille du cinéaste) montre clairement que toute vérité n’est pas bonne à dire, que la franchise totale confine parfois à la bêtise et que les interlocuteurs de mauvaise foi peuvent être horripilants (et très drôles en l’occurrence).

Pièce mythique inspirée d’un film du maître incontesté du suspense, Alfred Hitchcock, jouée des années durant à Broadway, “Les 39 Marches” débarque au TTO en novembre. On y retrouve l’ADN du théâtre : du divertissement de qualité et de la fantaisie, avec une bonne dose d’action.

“Le rêve de Mercier, ou le destin tragique de Françoise-Thérèse de Choiseul-Stainville, princesse de Monaco” est un face à face imaginaire situé en 1794, entre deux personnages historiques, prisonniers pendant la période de la Terreur à Paris : l’écrivain Louis-Sébastien Mercier, promoteur d’une révolution pacifiste, et Françoise-Thérèse de Choiseul-Stainville, princesse de Monaco par mariage ; tous deux dans l’attente de la sentence révolutionnaire.