Lifestyle

La belle saison arrive enfin avec les jours plus lumineux. La sève monte dans les arbres et la vie qui reprend après ces longs mois d’hibernation. Cultiver le bien-être et accueillir le positif permettent de s’épanouir physiquement et moralement. Changer quelques habitudes pour retrouver du peps n’a rien de contraignant, surtout quand l’énergie est au rendez-vous. Un reboot nécessaire commence par une bonne détox. Comment s’y prendre pour atteindre ses objectifs et chouchouter son foie ?

Les carnassiers du sud de Bruxelles ont, depuis la fin de l’année dernière, une nouvelle tanière où se rassasier : La Meute, place Saint Job. À se mettre sous la dent : le meilleur de la viande de bœuf, des vins et des bières artisanales pour décupler les plaisirs gustatifs.

Descendre dans un hôtel peuplé d’art, c’est bien. Le visiter en compagnie d’un peintre qui vient d’en enrichir les collections, c’est encore mieux. Séjour de rêve sur les traces de Claude Monet avec Olivier Masmonteil.

Des étranges « cubes » ont trouvé leur place dans les jardins. Réalisées entièrement en bois, mais avec un confort optimal grâce à leurs qualités techniques et structurelles, ils se déclinent en différentes tailles et sont entièrement modulables. Ces constructions ont été imaginées par Arthur Dumont de Chassart, ingénieur-architecte diplômé de l’ULB en 2009.

Quand il ne compose pas de poétiques bouquets ou d’étonnants décors floraux à travers le monde, le fleuriste Éric Chauvin se ressource dans sa maison de campagne. Un lieu enchanteur, comme sorti d’un rêve d’enfant.

Rénovée de fond en comble avec une orientation esthétique qui mixe astucieusement moderne, ancien et code industriel, tout en insistant sur la beauté des détails conduits aves une rare méticulosité, cette longère a acquis une vraie personnalité.

Cela paraît fou, c’est pourtant bien réel. Profiter d’une expérience gastronomique, installé tout en haut de l’un des édifices les plus emblématiques de Belgique sera désormais possible. À partir de ce 15 mars, le restaurant pop-up Table 58 s’installe sur le rooftop du Palais 5 de Brussels Expo. La promesse ? Un moment hors du temps, en tête à tête avec l’Atomium. Dans les assiettes, un menu réalisé à quatre mains par les chefs doublement étoilés Lionel Rigolet (Comme Chez Soi**) et Nick Bril (The Jane**). Un événement inédit ouvert à partir de mi-mars jusqu’au début de l’été, comme une ode au plat pays…

Après le franc succès rencontré lors de la collaboration avec le chef étoilé Nicolas Isnard en décembre dernier, The Poet, le restaurant-bar de l’hôtel Renaissance, a décidé de réitérer l’expérience. Cette fois, c’est au chef Natali, de l’Hostellerie La Montagne* qu’ils ont décidé de faire confiance. Ainsi, du 8 au 12 mars, le chef français prendra les commandes des cuisines du restaurant pour régaler les plus fins gourmets le temps de cinq soirées exclusives.

Avec ses trente-deux climats classés en premier cru, cette appellation de la côte Châlonnaise est la plus vaste des AOC Bourguignonnes ! Très recherchés par les connaisseurs, car mal connus du grand public, ses rouges et ses blancs sont de grands vins à des prix encore très accessibles, dont on peut profiter pour les boire en magnums !

Les simples cabanons en bois des débuts du rail ont vite fait place à des édifices de prestige aux dimensions grandioses. En quelques années, suivant pas à pas l’industrialisation galopante, les gares se sont imposées comme des éléments incontournables du paysage urbain, avec leur lot de connotations historiques, sociologiques et esthétiques.

Bien plus que des édifices où l’on entasse les ouvrages, les bibliothèques célèbrent la connaissance par la lecture tout en proclamant, pour les plus prestigieuses, le pouvoir intellectuel et la notoriété des institutions qui les abritent.

Pain, pâtes, semoule, biscuits, viennoiseries… Ces aliments constituant la base de l’alimentation occidentale seraient à l’origine de divers maux digestifs, poussées inflammatoires et désordres psychologiques. Outre leur action sur la glycémie, ils contiennent une substance qui fait débat depuis plusieurs années : le gluten. Pléthore d’alternatives fleurissent de toutes parts pour répondre à une demande sans cesse croissante. Est-il le seul coupable de l’ensemble des méfaits dont on l’accuse ?